2015 Nouvelle-Zélande (janvier)
Nous arrivons après 5 heures d'avion à Auckland, capitale de la Nouvelle-Zélande. On a loué une voiture pour les trois mois que durera notre séjour. Une bonne nuit d'hôtel nous permet de récupérer un départ mouvementé sous la pluie à Tahiti lors de l'arrivée de la première dépression tropicale nommée Niko. En quittant Oniva sous des trombes d'eau, on croise les doigts et on espère que tout ira bien pour le bateau.
Se retrouver dans une ville de 1.5 millions d'habitants après avoir vécu 8 mois dans les îles polynésiennes est très dépaysant. Mais où courent donc tous ces citadins en pantalons sombres et petits tailleurs? On est un peu abasourdi et les enfants posent plein de questions sur tout ce qu'ils voient. Ils sont aussi étonnés que les gens marchent si vite et ne nous disent pas bonjour en nous croisant...
Après une brève visite du centre-ville on rejoint la famille Andrews en banlieue. Malcolm, Valérie, Clara et Larissa, la filleule d'Huaras, habitent en Suisse dans le même village que nous. Ils sont venus vivre une année dans le pays natal de Malcolm. C'est avec grand plaisir qu'on les retrouve pour quelques jours.
Se retrouver dans une ville de 1.5 millions d'habitants après avoir vécu 8 mois dans les îles polynésiennes est très dépaysant. Mais où courent donc tous ces citadins en pantalons sombres et petits tailleurs? On est un peu abasourdi et les enfants posent plein de questions sur tout ce qu'ils voient. Ils sont aussi étonnés que les gens marchent si vite et ne nous disent pas bonjour en nous croisant...
Après une brève visite du centre-ville on rejoint la famille Andrews en banlieue. Malcolm, Valérie, Clara et Larissa, la filleule d'Huaras, habitent en Suisse dans le même village que nous. Ils sont venus vivre une année dans le pays natal de Malcolm. C'est avec grand plaisir qu'on les retrouve pour quelques jours.
Les enfants aussi sont très contents de revoir des copains de la Suisse. Ils allaient à la crèche de Marsens ensemble. Que le temps passe vite!
Puis, profitant d'un week-end prolongé, on va ensemble à la maison de vacances des parents de Malcolm à Whangamata sur la presqu'île de Coromandel.
La côte sauvage est entrecoupée de magnifiques plages idéales pour la pratique du surf.
Les enfants s'en donnent à coeur joie.
Le temps est magnifique, mais le soleil est redoutable à cause du trou d'ozone. On doit se protéger beaucoup plus qu'à Tahiti. Le contraste entre l'ombre et le soleil est vif.
En Nouvelle-Zélande, le barbecue est une institution et Malcolm est un expert!
La maison de vacances bien sympa.
On continue notre brève visite de l'île du Nord en faisant du camping. C'est la première fois que les enfants dorment dans une tente. Certes depuis tout bébés ils ont vécu beaucoup de nuits dehors, mais dans un camping-car.
Les campings privés sont bien organisés sur un gazon tondu ras. Nos enfants habitués au camping-sauvage, trouvent que ce n'est pas du vrai camping car on n'a pas le droit de faire un feu! Mais cette petite voiture leur plaît bien.
Cathedrale Cove, et ses magnifiques grottes et falaises découpées.
Jamais à court d'idées, les enfants se défoulent.
Hot Water Beach. Plage célèbre pour ses sources d'eau chaudes sortant à même le sable. Alors, lorsque que la marée est basse, tout le monde se précipite avec des pelles pour se creuser son propre jacuzzi. Mais lorsque la marée remonte, parfois une vague est plus forte et hop elle mouille et renverse tout ce petit peuple très occupé à creuser. Scènes cocasses à gogo!
Direction Rotorua au centre de l'île du Nord. Très connue pour son géo-thermalisme et ses geysers. Mais la commercialisation à outrance de ces sites naturels et les prix d'entrée prohibitifs gâchent un peu le plaisir.
Reconstitution d'une maison maorie construite avec des troncs de fougères géantes, la plante très symbolique de la Nouvelle-Zélande.
Représentation de danses maories.
Le magnifique musée de Rotorua, style Tudor, avec des terrains de bowling à l'anglaise.
Jusqu'à son coucher le soleil brille de toute sa puissance.
La langue maorie avec ses mots parfois extrêmement longs, 35 lettres pour celui-ci, semble de prime abord peu accessible. Mais c'est une langue encore beaucup parlée dans certains endroits et elle est enseignée dans les écoles.
Une jolie forêt de séquoias de Californie plantée vers 1900 nous donne l'occasion de belles parties de cache-cache.
Les Huka Falls impressionnantes et puissantes.
On s'attendait à voir un paysage vert avec des blancs moutons, mais à la fin de l'été, les champs sont très secs et l'on voit aussi beaucoup de bovins.
La population de moutons serait passée de 80 à 30 millions de têtes ces vingt dernières années au profit d'autres formes d'agriculture et d'élevage, tels que la vigne, les vergers et les bovins.
La population de moutons serait passée de 80 à 30 millions de têtes ces vingt dernières années au profit d'autres formes d'agriculture et d'élevage, tels que la vigne, les vergers et les bovins.
Galopades dans les dunes des plages du sud de l'île juste avant de prendre le ferry à Wellington, la capitale, pour l'île du sud.
Traversée du Cook Strait, redouté déjà à l'époque par les explorateurs, pour ces courants, ses forts vents et sa mer difficile. Paysages austères et reculés des Malborough Sounds.
Arrivés à Picton dans l'île du sud à 2h00 de route de la petite ville de Nelson où nous allons scolariser les enfants pour le premier trimestre de l'année scolaire qui commence en février. Toute la famille se réjouit d'aller vivre dans une maison pour 2 mois et les enfants de découvrir une vraie école, surtout Tim et Estelle qui en n'ont encore jamais connue.