2014 Iles Sous-le-Vent (nov.-décembre)
Arrivée à Bora-Bora, île mythique des mers du sud. C'est une étape marquante dans notre traversée du Pacifique Sud. Bora est l'une des île de la Polynésie française la plus à l'ouest. La prochaine fois qu'on y reviendra ce sera pour faire notre clearance de sortie et continuer en direction des îles Cook, Tonga, Fidji, etc... mais laissons d'abord se passer la période cyclonique.
Mais revenons quelques jours en arrière: après une belle traversée d'une nuit avec vent et houle dans le dos, on arrive à l'île d'Huahine dans l'archipel des Iles-sous-le-Vent. Cette première traversée pour les grands-parents de nuit s'est très bien passée et nous en sommes tous soulagés.
Visite d'un marae (site sacré) au sud de l'île.
Il est entièrement construit avec des pierres provenant du récif coralien.
Arrivée de la Goelette à Fare, village principal d'Huahine. Elle est chargée des pirogues en provenance de Tahiti et des autres îles qui vont participer à l'une des plus célèbres courses de pirogues du Pacifique: la Hawaiki Nui Va'a.
A son arrivée, le bateau est transformé en super-plongeoir par une jeunesse en liesse.
Les équipages se préparent, paufinent les réglages, et préparent leurs pirogues pour la pesée. Celles-ci ne doivent pas peser moins de 150kg. Il y a 6 rameurs par embarcation et chacune sera suivie par un petit bateau à moteur en cas d'avarie. Les équipes sont constituées de 12 à 15 personnes qui pourront se relayer pendant les trois jours que dure la course.
Passionnés de sport de pagaie (canoë-kayak), nous allons suivre la totalité de la course avec notre Oniva. Le parcours fait 120 km et part d'Huahine puis va à Raiatea, Tahaa et arrive à Bora-Bora.
Passionnés de sport de pagaie (canoë-kayak), nous allons suivre la totalité de la course avec notre Oniva. Le parcours fait 120 km et part d'Huahine puis va à Raiatea, Tahaa et arrive à Bora-Bora.
On assiste à la cérémonie d'ouverture de la Hawaki Nui Va'a qui réunit plusieurs milliers de personnes, dont quelques personnalités telles que le Président de la Polynésie Française (se tenant le front bien pensif).
Les rameurs écoutent assis parterre les discours qui se succèdent et les officiels portent de beaux colliers ou couronnes de fleurs.
Mélange de tradition et de modernité.
Un buffet abondant et délicieux de produits locaux est offert à toute la population à l'issue de la cérémonie.
Les pirogues se dirigent vers la ligne de départ.
Le Va'a (pirogue) est vraiment le sport national polynésien, un peu comme le ski en Suisse.
Le départ est donné, 44 km pour la première étape qui traverse la pleine mer séparant Huahine de Raiatea. Elle se terminera sous une pluie battante avec très peu de visibilité.
On s'arrête à un ponton menant au grand marae sacré de Taputapuatea au sud de Raiatea. C'est le marae le plus important de Polynésie.
Son rayonnement fut tel que des peuples des Tongas, des îles Cook et même de Nouvelle-Zélande s'y rendirent durant les siècles passés pour des célébrations. Il s'étend sur une grande surface et est en bord de mer.
Le lendemain, on a droit a un superbe arc-en-ciel sur le lagon de Tahaaa, d'où part la dernière étape de la course en direction de Bora-Bora.
55 km de traversée entre les deux îles avec une mer encore un peu agitée.
Les rameurs profitent de chaque vague pour la surfer. Un rameur au milieu est chargé d'écopper l'eau si nécessaire. On se laisse rattraper par le peloton car le vent tombe et que les pirogues filent au moins à 6-7 nds.
Arrivée mémorable à Bora-Bora sous un soleil magnifique.
C'est la grande fiesta à la plage de la pointe de Matira une fois la course terminée. Chaque petit bateau suiveur a sorti son ampli et met la musique à fond. Jamais on aura vu par ici plage autant bruyante et fréquentée. On dirait presque Ibiza en plein mois d'août.
Le mont Pahia qui culmine sur l'île centrale de Bora. On en tentera l'ascension bien sur, mais on sera vite arrêté dans notre ardeur toute alpine à cause du sol rendu très glissant par les pluies récentes. A mesure qu'on avance, le sentier se fait moins fréquenté et beaucoup trop raide.
On rebroussera chemin muni d'un carton rempli de papayes offertes par un gentil monsieur habitant en bordure du chemin.
On trouve un autre sentier plus fréquentable que l'on se dépêche d'emprunter. Au sommet: vue superbe sur le lagon de Bora et ses hotels de luxe avec en toile de fond, l'île de Tahaa.
Toute la famille en sueur mais en pleine forme.
Navigation dans le lagon.
Il n'y a pas à dire c'est une île très photogénique.
Les fables de La Fontaine racontées par Grand-Papa, c'est captivant.
Grand-Maman qui "fait l'école" à Nils aussi! Et ça soulage un peu la Maman.
De bleuh de bleuh...
Les enfants s'amusent devant ce magnifique motu (îlot).
Il a appartenu à l'éthnologue et explorateur Paul-Emile Victor. Son fils l'a vendu il y a quelques années à un miliardaire américain qui l'a mis sous vidéo surveillance, ne pouvant sans doute en profiter que quelques jours par an.
En immortalisant ce somptueux paysage et prenant une photo depuis ce petit ponton, nous avons déclenché une alarme dans quelque bureau de New-York. Grâce à une discrète caméra motorisée accrochée à un cocotier, dix minutes ne se sont pas écoulées qu'une vedette rapide venant de l'île principale a foncé vers nous pour nous demander gentiment de quitter les lieux en nous disant que le propriétaire n'appréciait quère que l'on profite de sa propriété sans lui. Quelle tête il a dû faire le surveillant lorsqu'il nous a vu gesticuler en disant bonjour à la caméra qui tournait dans tout les sens! C'est aussi ça Bora-Bora, le contraste entre les riches, voir extrêmement riches qui possèdent les magnifiques motus ceinturant le lagon et la population locale vivant très modestement sur l'île centrale mal organisée et particulièrement peu entretenue.
En immortalisant ce somptueux paysage et prenant une photo depuis ce petit ponton, nous avons déclenché une alarme dans quelque bureau de New-York. Grâce à une discrète caméra motorisée accrochée à un cocotier, dix minutes ne se sont pas écoulées qu'une vedette rapide venant de l'île principale a foncé vers nous pour nous demander gentiment de quitter les lieux en nous disant que le propriétaire n'appréciait quère que l'on profite de sa propriété sans lui. Quelle tête il a dû faire le surveillant lorsqu'il nous a vu gesticuler en disant bonjour à la caméra qui tournait dans tout les sens! C'est aussi ça Bora-Bora, le contraste entre les riches, voir extrêmement riches qui possèdent les magnifiques motus ceinturant le lagon et la population locale vivant très modestement sur l'île centrale mal organisée et particulièrement peu entretenue.
Le platier, récif extérieur du lagon côté océan.
Estelle perd ses deux incisives à quelques jours d'intervalle ce qui donne beaucoup de travail à la "petite souris" qui lui apporte un beau billet en échange lors d'une promenade à terre.
Le moment du départ des grands-parents est arrivé. Les enfants sont très émus de voir partir leurs grands-parents après un mois à leurs côtés. On les conduit à leur vol en annexe et on fait une dernière photo depuis le ponton de l'aéroport de Bora-Bora. Pas mal comme aéroport, non?
Et voilà l'avion des grands-parents qui décolle. Vu depuis Oniva.
Le calme du petit matin au lever du soleil dans un semblant de fraîcheur.
Même après avoir vu des centaines de couchers de soleil sur la mer, on est toujours autant fasciné par ce spectacle qui est presque devenu un rituel pour nous.
Happy birds, aren't they?
Happy Daddy, too!!!!
Les petites princesses: Estelle et sa copine Eden.
On retrouve avec plaisir l'équipage de Suricat qu'on avait quitté aux Galapagos il y a plus de 6 mois.
Quelques jours après, c'est également les retrouvailles avec les équipages de Max et de Galacsea plus revus depuis Panama.
On suit ces deux beaux bateaux (Amel 54) en direction de la profonde baie de la Faaroa au sud de Raiatea où l'on passera quelques jours en leur companie.
Dans la baie une pirogue nous suit en surfant sur la vague créée par Oniva.
En pleine concentration le Tane!
On remonte avec les amis la rivière de Faaroa, unique rivière naviguable par de peties embarcations en Polynésie. Elle coule dans un ancien cratère de volcan très fertile où de nombreux jardins sont cultivés au milieu de la forêt. Séance exploration!
La rivière se rétréci et la végétation se densifie. On finira l'expédition par une baignade dans de l'eau douce et relativement fraîche, une fois n'est pas coutume. Ici, contrairement au Panama, pas de crocodiles. On en profite!
Au sommet du mont Tapioi surplombant Uturoa, 2ème ville de Polynésie avec 4'000 habitants. Vue sur l'île de Tahaa réputée pour sa vanille d'excellente qualité.
Le mouillage du motu Atoi offre un excellent abri derrière le récif pour les catamarans dans moins de 2 mètres de fond. c'est comme une immense piscine naturelle avec raies, poissons et petits requins pointes-noires. On y restera plus d'une semaine. Plusieurs familles y séjournent à l'année en mettant leurs enfants à l'école à Uturoa juste en face.
Chevaux en liberté sur la montagne. Les possibilités d'excursions étant rares on y reviendra plusieurs fois. Passe du lagon en arrière-plan.
Petite série de portraits.
La saison des pluies débute, le ciel est bas et il pleut fort. On va passer quelques jours au quai du centre ville d'Uturoa qui est gratuit et où les plaisanciers sont bienvenus. Idéal pour un petit retour à la civilisation durant le mauvais temps.
Comme dans beaucoup d'endroits, en Polynésie tout ce qui est importé est très coûteux contrairement aux produits locaux. Quelques exceptions à cette règle, les PNN, produits de première nécessité subventionné par le gouvernement et dont le prix est fixe. Par exemple: la baguette de pain à 0.45 Euros, l'entrecôte à 12 Euros ou le kilo de riz à 0.80 Euros. Par contre, la plaque de chocolat est à 3.50 Euros et le parmesan à 40 euros le kilo. Et ce magnifique bouquet de fleurs? 8 euros... seulement alors qu'en Europe il en vaudrait en tous cas 6 fois plus! Cela demande d'adapter un peu ses habitudes de consommation, mais on n'a rien contre les entrecôtes et les beaux bouquets de fleurs...
Nils fait la lecture à son petit frère avant d'aller au lit.
Estelle découvre un nouveau monde avec son masque de plongée optique adapté à sa vue. Il nous est arrivé directement à Bora par avion. Depuis ce jour, elle s'est mise à nager comme un poisson et peut désormais suivre ses frères. Nils est très fier des progrès de sa soeur et se montre un bon professeur.
Côte ouest de Raiatea peu habitée avec des montagnes culminant à plus de 1000 mètres avec d'imposantes falaises.
Location d'une voiture pour faire le tour de l'île. Ces paysages sauvages nous rapellent les Marquises.
Un marae avec des stèles de plus de 4 mètres de haut.
Comme on est de sortie, on s'offre un bon repas dans une pension de luxe.
On repasse par le marae Taputapuatea, avec du soleil cette fois-ci. Cette pierre centrale est réputée avoir un fort "Mana", soit une puissance, une force surnaturelle et sacrée.
Ces lieux sacrés sont souvent entourés d'arbres précieux comme ici ces trois Tamanus, dont ont extrait une huile très employée dans le soin de la peau (Calophyllum Inophyllum).
Mouillage du moru Atoi dans moins de 2 mètres d'eau, une vrai piscine naturelle, l'eau est si transparente qu'il faut avoir confiance dans son sondeur lorsqu'il indique qu'il reste encore 50 cm sous les ailerons.
Delphine ne resistera pas à vouloir aller photographier ce superbe mouillage depuis le sommet du mât à plus 20 mètres au dessus de l'eau. Voilà ci-dessous ce que cela donne.
Vue plongeante sur les bato-copains Idéfix, Dig-Doog,...
Ciel, ce que le bateau paraît petit depuis le sommet. Il vaut mieux ne pas être sujet au vertige.
On zoome un peu.
Et encore un peu plus.
Waouh! Il faudra que j'y retourne plus souvent me dis-je. Je ne peux m'empêcher de penser à Huaras qui y était monté 5 fois durant la traversée du Pacifique entre les Galapagos et les Marquises avec plus de deux mètres de creux et 15-20 nds de vent pour sécuriser notre hauban défecteux.
Waouh! Il faudra que j'y retourne plus souvent me dis-je. Je ne peux m'empêcher de penser à Huaras qui y était monté 5 fois durant la traversée du Pacifique entre les Galapagos et les Marquises avec plus de deux mètres de creux et 15-20 nds de vent pour sécuriser notre hauban défecteux.
Nos deux jumeaux, Tim et Estelle, pleins de complicité.
Scène nocturne sous une pleine lune magnifique, avant de partir pour l'île de Maupiti tout à l'ouest de l'archipel des Iles Sous-le-Vent.
Passage de la passe étroite d'Onoiau à Maupiti. Elle très redoutée par les navigateurs à cause de son courant toujours sortant et pouvant atteindre 8-9 nds dans les bons moments... Mais ce matin-là, comme la houle et le vent sont presque inexistants, il n'y a que 3 nds de courant et elle est bien aisée par rapport à certaines passes des Tuamotus. Toutefois, on imagine facilement qu'avec de moins bonnes conditions elle devienne vite infranchissable.
Le Capitaine est radieux et content d'avoir eu un passage si facile, même s'il a presque fait une nuit blanche pour s'y présenter à la bonne heure.
On se laisse glisser à l'intérieur du lagon en direction de l'île centrale, soulagé de ne pas avoir eu de difficulté.
Maison de pêcheurs en bordure de la passe de Maupiti.
Arrivée devant le village et sa charmante église.
L'île compte 1200 habitants et vit vraiment en dehors des circuits touristiques. Une certaine impression d'isolement s'en dégage. Les habitants sont sympatiques et le dimanche matin on se fait inviter au culte qui est un peu la seule animation des lieux.
On nous passe des colliers de fleurs et on nous assied tout devant. Huaras prétexte le fait de garder Tim dehors pour éviter la cérémonie. Mais finalement il entrera également dans le temple, tant la qualité des chants en ce dimanche de l'Avent est remarquable. Tout le monde chante avec ferveur et enthousiasme. Les dames sont vêtues pour la plupart en blanc avec des chapeaux fleuris ou des couronnes de fleurs. Le pasteur déplore que le temple soit qu'à moitié rempli ce jour-là, absences qu'il explique par l'importance de l'épidémie de chikungunya qui frappe durement cette île.
Le chikungunya est une maladie tropicale transmise par les moustiques qui se manifeste d'abord par une forte fièvre, un urticaire, puis une atteinte plus ou moins invalidante des articulations. Chikungunya signifie homme-courbé dans une langue africaine car le malade ne peux au début même plus se lever de son lit. Puis, lorsqu'il le peut, il adopte une position courbée, se traînant comme un vieux rhumatisant. Il peut y avoir des rechutes durant toute la vie de la personne atteinte et le premier épisode dure souvent 2 à 3 semaines, mais peut durer jusqu'à 6 mois. Devant cette perspective très peu engageante pour notre famille, on se décide à limiter dorénavant au minimum nos déplacements à terre et à n'y aller qu'abondamment sprayé de liquide antimoustique et bien couvert. Début décembre, à Papeete presque la moitié des habitants l'ont déjà eu depuis mi-octobre, date du début de l'épidémie et des premiers cas déclarés en Polynésie! Les prévisions parlent de 60 à 70% de la population qui serait atteinte d'ici le mois de février. Le gouvernement tahitien indique naturellement que cette épidémie a des répercussions très négative sur l'économie tant il y a de malades.
C'est la première fois qu'on est confronté durant ce voyage à un problème sanitaire de cette importance et on a hâte de partir à mi-janvier en avion pour la Nouvelle-Zélande en espérant éviter d'ici-là toute contamination. Mais cela n'entame pas notre envie de découvrir ces îles mais en mettant l'accent sur les activités aquatiques.
Le chikungunya est une maladie tropicale transmise par les moustiques qui se manifeste d'abord par une forte fièvre, un urticaire, puis une atteinte plus ou moins invalidante des articulations. Chikungunya signifie homme-courbé dans une langue africaine car le malade ne peux au début même plus se lever de son lit. Puis, lorsqu'il le peut, il adopte une position courbée, se traînant comme un vieux rhumatisant. Il peut y avoir des rechutes durant toute la vie de la personne atteinte et le premier épisode dure souvent 2 à 3 semaines, mais peut durer jusqu'à 6 mois. Devant cette perspective très peu engageante pour notre famille, on se décide à limiter dorénavant au minimum nos déplacements à terre et à n'y aller qu'abondamment sprayé de liquide antimoustique et bien couvert. Début décembre, à Papeete presque la moitié des habitants l'ont déjà eu depuis mi-octobre, date du début de l'épidémie et des premiers cas déclarés en Polynésie! Les prévisions parlent de 60 à 70% de la population qui serait atteinte d'ici le mois de février. Le gouvernement tahitien indique naturellement que cette épidémie a des répercussions très négative sur l'économie tant il y a de malades.
C'est la première fois qu'on est confronté durant ce voyage à un problème sanitaire de cette importance et on a hâte de partir à mi-janvier en avion pour la Nouvelle-Zélande en espérant éviter d'ici-là toute contamination. Mais cela n'entame pas notre envie de découvrir ces îles mais en mettant l'accent sur les activités aquatiques.
Dîner face au rocher de Maupiti avec un ciel chargé caractéristique de la saison cyclonique qui s'étend de novembre à avril en Polynésie.
Tour de l'île à vélo. Nils le fera vaillament en trottinette.
Pic-nique à midi sur une plage bien ventilée en compagnie d'une classe d'écoliers. ll y a de beaux jardins de coraux très poissonneux et bien préservés.
Tim en pleine forme.
Après quelques jours à Maupiti on remet le cap à l'est pour se rapprocher des îles où il y a des mouillages plus protégés. Nous sommes le dernier voilier à quitter l'île en ce début de saison cyclonique. Bien nous a pris car une dizaine de jours plus tard la première dépression tropicale arrivera lorsque nous serons déjà arrivés à Moorea peu avant Noël.
Après quelques jours à Maupiti on remet le cap à l'est pour se rapprocher des îles où il y a des mouillages plus protégés. Nous sommes le dernier voilier à quitter l'île en ce début de saison cyclonique. Bien nous a pris car une dizaine de jours plus tard la première dépression tropicale arrivera lorsque nous serons déjà arrivés à Moorea peu avant Noël.
Les brisants bordant la passe de Tiva à l'île de Tahaa. On sent que le sud envoie du lourd, comme on dit!
On va nager dans le jardin de corail très poissoneux à côté du motu Tau-Tau.
Estelle s'accroche aux poissons car le courant dans ce hao (canal traversant) y est fort.
Estelle s'accroche aux poissons car le courant dans ce hao (canal traversant) y est fort.
En lieu et place des moutons, Huaras compte les poissons-papillons pour la sieste.
Fidèle à la tradition sur Oniva, les enfants mettent chacun une lettre dans un bocal qu'ils jettent en route à la mer pour le Père Noël en lui décrivant quel cadeau ils aimeraient recevoir pour l'occasion.
Nils désirerait deux BD de Tintin, Tim un livre sur les poissons et Estelle un livre sur les chevaux.
On verra le 24 si ces lettres auront atteint leur destinataire et les voeux exaucés! Noël au prochain épisode!!
Nils désirerait deux BD de Tintin, Tim un livre sur les poissons et Estelle un livre sur les chevaux.
On verra le 24 si ces lettres auront atteint leur destinataire et les voeux exaucés! Noël au prochain épisode!!