2015 Nouvelle-Zélande fin (avril)
Après avoir passé de merveilleux moments à Nelson où les enfants sont allés à l'école pour le premier trimestre de l'année scolaire, nous sommes descendus plus au sud et avons loué une maison en bord de mer sur la péninsule de Kaikoura. L'automne est arrivé et on a ressorti les pulls.
Cette péninsule est fameuse pour les nombreuses colonies de phoques et sa riche vie marine. Mettez des marins à terre, vous les retrouverez jamais très loin de la mer!
Cette faune marine bien préservée nous rappelle un peu celle des îles Galapagos. Ici on voit une nurserie de jeunes phoques. Quelle agitation et que de plaisir pour les yeux.
Delphine est fascinée par ces algues géantes dont la solidité et la plasticité sont remarquables.
Vue depuis la maison louée pour quelques jours à Kaikoura. L'eau n'a plus que 14°C à cause des courants qui remontent de l'Antarctique.
Chaque matin au petit-déjeuner depuis le balcon, on aperçoit des dizaines de dauphins qui sautent dans la baie.
Tour de la péninsule de Kaikoura à pied. On doit jongler avec la marée qui parfois peut rendre le passge impossible au pied des falaises. Tout comme les dizaines de phoques qui ne sont pas toujours d'accord d'être dérangés.
Tim dans les champs jaunis par un été très sec.
Nils donne à manger à un bélier à la toison semblable!
Démonstration de tonte de mouton en 4 minutes.
Le record de vitesse de tonte d'un mouton entier est de 32 secondes. En saison, les professionnels tondent jusqu'à 600 à 800 moutons par jour. Ils se déplacent de ferme en ferme pour le faire.
La laine d'un mouton vaut actuellement 12 dollars NZ (= 9 CHF ou euros) le kilo sur le marché mondial et ils sont tondus 2 fois par an. La rentabilité baissant, beaucoup de fermes sont à vendre ou se reconvertissent dans d'autres forme d'agriculture.
Le record de vitesse de tonte d'un mouton entier est de 32 secondes. En saison, les professionnels tondent jusqu'à 600 à 800 moutons par jour. Ils se déplacent de ferme en ferme pour le faire.
La laine d'un mouton vaut actuellement 12 dollars NZ (= 9 CHF ou euros) le kilo sur le marché mondial et ils sont tondus 2 fois par an. La rentabilité baissant, beaucoup de fermes sont à vendre ou se reconvertissent dans d'autres forme d'agriculture.
Autre production locale importante: l'exploitation de sel marin.
Petit retour en arrière: sur la Pelorus River, une rivière à la couleur verte et à la transparence incroyable. A une heure de route de Nelson.
Mais la température automnale de l'eau, loin de celle à laquelle nous sommes normalement habitués en Polynésie, nous retiendra d'y effectuer un plongeon.
Traversée du détroit de Cook en direction de l'île du nord, sur le chemin du retour cette fois-ci. Brr! C'est le moment de migrer à nouveau vers les Tropiques.
Petite visite de Whanganui, une bourgade charmante avec de beaux bâtiments, mais tout est à vendre.
Voici un paysage typiquement néo-zélandais où la quantité de moutons à compter ferait rapidement sombrer dans le sommeil le plus récalcitrant des insomniaques.
On loue un charmant "chalet suisse" dans la station de ski d'Ohakune située au pied du Mont Ruhapehu, un majestueux volcan au centre de l'île du Nord. C'est très "cosy" et on se sent comme à la maison.
Préparation du petit-déjeuner avant d'aller jouer dehors dans la première neige de la saison.
Emerveillement pour les enfants qui ont un peu oublié depuis le temps à quoi ressemblait la neige.
S'ensuit une partie de boule de neige et pour tous gants on enfile des chaussettes! Mais pourquoi la neige chaude ça n'existe pas? s'exclament-ils.
La pluie et la neige font gonfler les rivières, comme le montrent ces puissantes chutes descendants du volcan.
Les kiwis, emblème du pays, dont on voit plus de panneaux que de volatiles. Mais pour la photo souvenir c'est sympa.
Le Volcan Ngauruhoe dans le parc national du Tongariro. La neige fraîchement tombée la veille ajoute à la beauté saisissante du site.
Trop contents de pouvoir profiter de cette neige imprévue, on part marcher dans la montagne en jeans, baskets et imperméables pour tout équipement jusqu'à ce que nos pieds trempés nous disent de redescendre. C'est vrai que depuis 3 ans nos habits d'hiver reposent bien sagement dans des cartons en Suisse.
Estelle est captivée par les flocons qui tombent sous forme de giboulées et ne se lasse pas de les avaler. Tout cela peut paraître bien trivial à nos amis restés en Europe, mais pour nous cette neige est carrément exotique.
Un endroit assez exceptionnel.
Le volcan voisin, le Mt Ruhapehu avec des pâturages au premier plan.
Et le voici vu depuis la petite station d'Ohakune où nous logeons.
Nous retrouvons à Auckland pour une soirée, l'équipage de Koa, un catamaran germano-suisse rencontré aux Marquises l'an passé. Ils sont déjà arrivés en Nouvelle-Zélande avec leur bateau et se préparent à poursuivre leur périple dans le Pacifique.
On s'offre une dernière nuit d'hôtel à Auckland au 28ème étage d'un gratte-ciel. Waouh! Quelle vue sur toute la ville et le magnifique front de mer aménagé avec une multitude de restaurants.
On retrouve le superbe catamaran de luxe qu'on avait déjà vu aux Antilles. C'est le plus grand catamaran à un mat du monde. Il appartient à Richard Brandson, le patron de Virgin, célèbre milliardaire-aventurier. Mais avec ces moyens, l'aventure a une autre substance!
Une dernière vue depuis la chambre de notre hôtel à Auckland, avant de reprendre l'avion pour la Polynésie Française où notre bateau nous attend à Moorea. Good bye New-Zealand and hello Polynesia!